La lumière est divine et le mal bien lointain,
Dans l’église apaisée le jour se fait serein:
Un grand souffle joyeux inonde les vitraux
Qui s’élancent en corolle, embrassant le Très Haut.
Aux Jacobins l’Histoire caracole, immobile,
Et les touristes prient au doux cœur de la ville…
Le palmier irradie sa splendeur purpurine
Et la pierre respire, embrasée et mutine,
Ces mille chatoyances quand soleil déluré
Vient saluer les ombres des gisants et des cierges.
Dans le cloître fleuri un piano se fait fugue;
On croirait voir furtives des moniales pressées
Rejoignant leur autel pour adorer la Vierge…
À Toulouse le futur au passé se conjugue.
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